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-- le manifeste de l’auto-notation libre expression lire les billets poster un billet contributions patrick senicourt le copil a propos contact partager le manifeste archives archives sélectionner un mois avril 2015 (2) thèmes thèmes sélectionner une catégorie tous derniers billets différence des notations banque de france et nota-pme ? bienvenue sur le blog du manifeste de l’auto-notation des tpe-pme commentaires récents patrick sénicourt dans bienvenue sur le blog du manifeste de l’auto-notation des tpe-pme patrick sénicourt dans bienvenue sur le blog du manifeste de l’auto-notation des tpe-pme renaud julien dans bienvenue sur le blog du manifeste de l’auto-notation des tpe-pme fabienne dans bienvenue sur le blog du manifeste de l’auto-notation des tpe-pme patrick sénicourt dans différence des notations banque de france et nota-pme ? le manifeste de l’auto-notation de la tpe-pme definition d’un manifeste : «proclamation destinée à attirer l’attention du public, à l’alerter sur quelque chose» (larousse). pour que le chef d’entreprise devienne acteur de sa notation financière. je télécharge le manifeste de l’auto-notation (version 1.01) je soutiens le manifeste de l’auto-notation j’écoute le podcast de l’émission bfm business du 19 avril 2015 où a été annoncé le manifeste de l’auto-notation. http://www.nota-pme.com/video/nota-pme%20sur%20bfm%20business%20philippe%20bloch%20et%20arnaud%20le%20gal%2019%20avril%202015%20version%20courte%206%20minutes.mp3 le blog du manifeste vient d’être mis en ligne : il est «en rodage» et encore quasiment vide de commentaires. il n’attend plus que vos contributions ! et merci par avance pour votre indulgence sur les anomalies que vous pourriez repérer ; n’hésitez pas à nous les signaler… pourquoi ce manifeste de l'auto-notation ? l’objectif est de construire un consensus sur l’utilité et l’acceptabilité du concept et de la démarche de l’auto-notation et de l’auto-évaluation réunissant toutes les parties prenantes : les entreprises et leurs accompagnants (experts-comptables et commissaires aux comptes, consultants, chambres de commerce et d’industrie, chambre de métiers et des artisans, collectivités territoriales, conseils d’entreprises), la sphère financière, les pouvoirs publics…. il s’agit également de diffuser une pédagogie de la notation , concept encore mal connu et trop souvent assimilé aux travaux des grandes agences de notation. ce manifeste, une initiative de nota-pme sas , a vocation à être alimenté par toutes ces parties prenantes . il pourra ainsi vivre et s’enrichir, notamment en fonction de l’évolution de l’environnement économique, réglementaire, financier, culturel, en s’alimentant des apports de tous les acteurs concernés. ce blog lui est dédié pour recueillir les remarques et suggestions de tous les contributeurs. il est piloté par le «copil» (comité professionnel de pilotage et d’orientation doctrinale de l’auto-notation) . de la notation à l’auto-notation en 9 propositions… 1. définitions : notation, cotation, scoring, rating, agences de notation, notation extrafinancière... sans que ces définitions ne soient totalement stabilisées dans le langage courant, il est possible de proposer les acceptions suivantes : notation : vocable générique de mesure de la performance ou du risque de défaut d’une entité ; cotation : terme utilisé principalement par la banque de france ; scoring ou credit scoring : cette terminologie est plus particulièrement utilisée pour apprécier la probabilité de défaut notamment par les banques, les assureurs-crédit et les credit-managers (tout comme la cotation de la banque de france) ; c’est cette même acception qui est le plus souvent revendiquée par les entités de «renseignement commercial» ; rating : c’est le vocable largement utilisé par les agences de notation ; agences de notation : selon l’esma (european securities and markets agency, autorité de régulation financière européenne), une agence de notation ne peut être agréée en tant que telle qu’à condition que la notation soit opérée par des analystes personnes physiques, ce qui exclut toute approche uniquement algorithmique ; notation extrafinanciere : diverses initiatives revendiquent le concept de notation en se concentrant sur certains aspects autres que la seule dimension de risque de défaut ou de performance financière ; par exemple la notation des start-ups ou la responsabilité sociale et environnementale. sauf indication contraire, le terme de notation est dans ce manifeste considéré comme recouvrant également les termes de cotation , de scoring et de rating . pre-valorisation (sur une base comptable et fiscale) : application mécanique des méthodes d’évaluation s’appuyant sur l’historique de l’entreprise (rentabilité passée, valeur patrimoniale…) ; permet une première approche de la valeur, mais ne saurait être retenue en l’état pour une valorisation économique ; la valeur comptable au jour de la valorisation est celle retenue par l’administration fiscale, qui ne saurait prendre en compte des événements futurs, et a fortiori des orientations stratégiques ; evaluation ou valorisation : choix et application raisonnés des méthodes d’évaluation et des paramètres associés (multiples, taux, horizons…), en tenant compte en général plus des performances anticipées que de celles constatées dans le passé. 2. les notations institutionnelles «exogènes», et les conséquences pour les tpe-pme les acteurs économiques sont de plus en plus sujets à être notés pour le compte des parties prenantes : les etats, les collectivités territoriales et les grandes entreprises par des agences de notation, les pme et tpe, les associations, les particuliers par les banques notamment. les tpe-pme sont notées par nombre d’organismes différents, chacun utilisant son propre système de notation : la banque de france , si leur chiffre d’affaires dépasse 750 000 euros ht, ou si elles ont emprunté plus de 380 000 euros. ces cotations sont diffusées aux seuls organismes financiers sous le sceau du secret bancaire (l’entreprise cotée peut obtenir une modification de sa cotation sur la base d’éléments nouveaux) ; les banques notent leurs clients selon leurs propres critères ; depuis la loi brunel (octobre 2009), l’entreprise peut se faire communiquer sa note, et obtenir des explications sur celle-ci ; les sociétés d’affacturage et les organismes de crédit-bail , majoritairement filiales de banques, utilisent en général le système de notation de ces dernières. les assureurs-crédit de leurs fournisseurs (atradius, coface, euler hermes…) ont leur propre système de notation ; depuis la convention de place de juin 2013, les entreprises peuvent être informées de la dégradation de leur note (avec un délai de prévenance de 3 semaines), sous réserve qu’elles se soient préalablement inscrites sur le site www.acheteurs-assurance-credit.fr ; les services financiers (credit management) de leurs fournisseurs, et les services achats de leurs clients grands donneurs d’ordres ; les fournisseurs d’informations financières, notamment altarès, ellisphere, score et décision, creditsafe… les plateformes de financement participatif (crowdfunding) en prêt ou en capital, qui développent généralement leur propre système de mesure du risque, tout en s’appuyant sur les notes de fournisseurs d’informations financières ci-dessus, qui peuvent souvent constituer un filtre automatisé de refus aux dépôts de proposition de campagne de financement ; pour mémoire, les « agences de notation » (principalement standard & poors, moody’s et fitch ratings) dont les équipes d’analystes financiers attribuent un rating aux émetteurs et emprunteurs le plus souvent grandes ou moyennes entreprises (plus de 100 millions de chiffre d’affaires), compte-tenu du coût élevé de leurs analyses ; plusieurs agences européennes analysent des entreprises plus petites (spread research en france, scope en allemagne..). 3. l’auto-notation «endogène» de la tpe-pme la démarche de l’auto-notation permet à l’entrep